A ma grande surprise, il a été beaucoup lu. Dans les mois qui ont suivi sa parution j’ai reçu quelques mails. Une femme m’expliquait que le texte l’avait touchée et aidée. Une autre me demandait des conseils concernant la prise de poids. Un homme m’a posé des questions sur l’hypnose. Ca m’a fait plaisir de partager mon expérience, je me suis sentie utile.
Ce qui m’a fait encore plus plaisir, ce sont les deux personnes qui ont pris le temps de me réécrire, respectivement un an et cinq ans après notre échange de mails pour me faire part de leur réussite. Ces personnes avaient elles aussi tenu ce sevrage-là. Je me suis sentie fière de les avoir soutenues.
Si ce texte peut inspirer quelqu’un autour de vous qui traverse ou envisage un sevrage, voici le lien :
http://www.stoptabac.ch/cgi-bin/aff_tem2.pl?aff+OPT25+direct+1955
D’un point de vue permaculturel, le problème du tabac, c’est plutôt… Les mégots.
Chaque année, 72 milliards de mégots sont disséminés dans la nature. Ce sont des déchets non biodégradables. On estime que 845 000 tonnes de mégots terminent en détritus chaque année. Ils terminent souvent leur vie dans les océans, du fait du parcours des égouts – et représentent 40 % des déchets présents dans la mer Méditerranée -. Ces filtres ayant absorbé une partie des 4000 substances nocives présentes dans la cigarette, dont la nicotine, l’éthylphénol, des résidus de pesticides, des métaux lourds, des gaz toxiques tels que l’ammoniaque et l’acide cyanhydrique… Ces substances menacent la faune et la flore.
(source http://www.stop-tabac.ch/fr/les-megots-une-dangereuse-pollution)
Une raison de plus pour arrêter de fumer, non ? Sans parler des économies, dont je parle ici dans cet article : Quand j’ai arrêté de fumer… (1/2)