Mon projet s'appelle In Flow, accompagner les femmes soignantes par la créativité. Je propose différents types d'accompagnement qui peuvent se dérouler en individuel ou en groupe pour permettre justement à des femmes qui souhaitent être plus épanouies dans leur vie professionnelle de se reconnecter avec leur élan, leurs valeurs, leurs envies, de réfléchir à certains freins, d'identifier des éléments qui les empêchent d'avancer ou de concrétiser leur projet.
Un projet ça peut être de prendre des responsabilités professionnelles, ça peut être de changer d'institution, ou d'affirmer une nouvelle identité, une nouvelle posture professionnelle après une formation.
Mon outil de travail c'est la relation tout d'abord. C'est aussi le verbal mais ma particularité en tant que coach-art-thérapeute-superviseuse, c'est de pouvoir offrir des outils autres que la parole.Le dessin, le collage, des mises en scène avec des objets symboliques, différents supports créatifs, artistiques qui permettent ...
C’est le printemps et on peut presque dire que « traditionnellement », le programme Let it Be ouvre ses portes.
Let it Be, c’est l’incubateur à entreprises de Blooming Compagnies, la boite à idées pour demain, le rendez-vous des enthousiastes.
L’image du programme Let it Be est un œuf, ou peut-être une graine, en tous cas une promesse.
On ne sait pas encore quelle forme ça aura, ni à ça servira.
Let it Be c’est une couveuse, une pépinière, un espace protégé, rassurant et chaleureux, où on mesure soigneusement les risques et on avance avec prudence.
« Les petites pousses vertes » (c’est le nom que nous donnons aux projets) sont souvent surprenantes. À la fois inattendues et évidentes.
Les projets progressent à petits pas sûrs et certains avec des rêves de grands plein la tête.
Vous pourriez lire ces lignes et penser que je suis condescendante mais c’est tout l’inverse. Je suis admirative. Il faut tellement de courage pour passer de l’ombre à la lumièr...
Ça y est, c’est le 8 mars, la journée des droits de la femme.
Il y a ceux qui offrent des fleurs (#hors-sujet), les marques de cosmétiques qui font des rabais (#hors-sujet bis), ceux qui font des blagues grasses, ceux qui esquissent les contours d'un monde sans inégalité et les documentaires révoltants sur toutes les injustices à l’encontre des femmes dans le monde qui finissent de plomber l’ambiance.
Le féminisme est un des sujets sur lequel je ne me suis, jusqu’ici, jamais (mais vraiment jamais) exprimée publiquement. Pourtant, il semble que chacun.e a son opinion sur… la mienne.
C’est étonnant et je trouve ça plutôt drôle. Tour d’horizon du "Qu'en dit-on?".
Je me souviens d’avoir posé la question à mon mari peu après la naissance de notre fille, aux débuts de l’association des Mampreneurs.
« - Tu trouves que je suis féministe ? »
« - Ah non, pas du tout. Les féministes portent des fleurs sur la tête et se baladent seins nus face à des...
Pour qu'une entreprise puisse envisager la prospérité, elle doit prendre en compte la durabilité. Dans le fond, ça n'est pas si différent de ce qui a toujours été fait. Toute entreprise prend soin de ses ressources, de ses canaux d'approvisionnement et de ses fournisseurs pour assurer une collaboration fructueuse.
Il est même fréquent que des entreprises aider leurs fournisseurs lors d'une mauvaise passe ou prennent des participations à leur capital.
Aujourd'hui, la situation climatique nous oblige à regarder les choses à une échelle plus "méta". Notre grand fournisseur, c'est la planète.
Elle ne fournit pas que des ressources aux entreprises, elle fournit aussi l'air que nous respirons et l'eau que nous buvons.
Alors on peut "Faire moins mal" : C'est ce qu'on appelle communément l'économie durable : diminuer ses déchets, recycler, diminuer son bilan carbone, son impact au sol, inventer des manières d'être plus efficient et même nettoyer des écosystèmes.
On peut aussi "Faire bien...
Il m’est sans doute arrivé ces dernières années de penser que je ne redeviendrai jamais salariée. Mais il ne faut jamais dire jamais. Le sujet de l’économie durable s’étend à plusieurs domaines dans la société, dont l’État. Et j'ai bon espoir que ce soit un angle qui permette d’avoir plus d’impact.
Une pause de midi avec des collègues à la mi-novembre.
- « Hé Katell, toi l’entrepreneure devant l’éternel, quel genre de poste pourrait faire que tu redeviennes salariée ? »
J’ai ri.
- « Ben oui, c’est bientôt Noël. Alors disons que je voudrais de l’économie durable, parce que ça me passionne, de la communication, parce que c’est quand même mon métier de base et puis j’aimerais avoir du budget, les moyens de changer les choses parce que quand même, ça urge… ».
Quelques jours plus tard, mes interlocuteurs abasourdis brandissent une offre d’emploi
- «Katell, tu ne vas jamais y croire ».
Il s’agit d’un...
Il y a des personnes qui changent votre vie durablement. Christian Junod en fait partie. Alors que j'étais entrepreneure débutante, j'ai pris conscience que l'argent était pour moi un sujet difficile. Christian Junod a croisé ma route et nous nous suivons depuis.
J'étais rédactrice mais je facturais moins cher qu'une femme de ménage. Je traînais pour envoyer mes factures. Si les gens ne payaient pas, je ne renvoyait pas de rappel (éventuellement je les blâmais intérieurement de leur ingratitude, ce qui n'avait pas beaucoup d'effet sur ma trésorerie ou alors je me disais que c'était parce que mon travail n'était pas assez bien, que je ne méritait pas d'être payée). Je dépensais tous mes bénéfices, ce que je considérais comme des investissements mais sans avoir de plan d'amortissement ni de stratégie de retour sur investissement.
À l'époque, Christian Junod était probablement le seul spécia...
La semaine passée, j’ai participé au premier Forum de l’économie Durable, organisé par la CVCI, la chambre vaudoise du commerce et de l’industrie. Cette manifestation fort instructive a été inaugurée par des personnalités politiques, appuyées par des avis de spécialistes scientifiques. Le Prof. Jean-Pierre Danthine est notamment intervenu pour répondre à la question "Peut-on croitre dans les limites planétaires?"
Je me suis fait la remarque que, même si je fréquente très régulièrement ce type de conférences, je n’en relayais presque jamais le contenu et que je citais rarement les scientifiques.
C’est lié à la pratique « tout ou rien » qui règne en maître dans notre manière d'élaborer une opinion, au manque de nuances. Si on cite un scientifique ou un auteur, c’est assimilé à approbation de l’ensemble de l’œuvre ou des recherches, passées et futures. Ce qui ne saurait être exact.
J’aime postuler que « je sais que je n...
Alexandra vit à Paris, quelques années après le lancement de son activité indépendante, elle s'est sentie épuisée, éperdue. L'accompagnement de Blooming Companies lui a permis d'élaguer et de recentrer ses activités économique sur ce qui l'anime : la facilitation de l'intelligence collective.
Interview en vidéo ci dessus - Ce texte est une retranscription
Je m'appelle Alexandra North. Aujourd'hui, je suis facilitatrice en intelligence collective, c'est à dire que je conçois et j'anime des ateliers pour que les groupes puissent mieux collaborer. Ça leur permet de trouver ensemble des nouvelles idées.
Par rapport à ce métier de facilitatrice, J'ai vraiment deux particularités.
La première, c'est vraiment je fais un focus sur le processus créatif. C'est vraiment au cœur de ma vie. C'est un fil rouge chez moi parce que j'ai travaillé pendant 20 ans dans la création de programmes pour la télévision. Une chaîne française qui s'appel...
Quand on crée une activité professionnelle indépendante, on n’est pas très distinct.e de son business. Certains parlent de « leur bébé », s’identifient totalement à leur activité qui devient une extension de leur personnalité.
Ensuite, souvent, une distance se créée. Parfois l’image du fondateur ou de la fondatrice disparait tout à fait, parfois elle est encore un peu associée, parfois elle reste centrale.
C’était mon cas. Blooming Companies, c’est (beaucoup) Katell Bosser.
Mais dans ce cas, que se passe-t-il pour l’entreprise quand sa créatrice change brusquement d’image ?
Après presque 25 ans de teinture capillaire mensuelle, je questionnais sérieusement cette habitude, le budget que j’y consacrais, l’impact écologique bien sûr et aussi l’impact social.
Nous ne sommes jamais à l'abri d'un grand bonheur... qui demandera éventuellement quelques ajustements. Découvrez le parcours de Nicolas Petit-barreau qui a pris la décision de rejoindre l'élue de son coeur sur sol Helvète et de faire suivre son activité de menuisier-pédagogue.
Nicolas et Catherine sont tous deux belges. Quand Catherine reçoit une proposition de l'EPFZ (école polytechnique de Zürich) difficile à refuser, une grande question se pose pour Nicolas. Comment déménager son entreprise de menuiserie pour pouvoir suivre le mouvement ?
L'idée de déplacer une entreprise semble à priori simple mais en réalité, il faut répondre à une multitude de questions et prendre une grande quantité de décisions.
Maintenir la structure administrative belge et créer une filiale suisse ?
Tout boucler et recommencer ?
Comment liquider les affaires en cours en Belgique tout en créant en Suisse ?
Démarrer en suisse allema...
50% Complete
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua.